revue_presse
 

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La phrase de Jean Claude Charvin au Conseil municipale du 27 janvier 2011:

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Voeux de la Gauche Citoyenne et Ecologiste:

Lire l'article de presse ci-dessous.

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L'adjoint au finances monte seul au créneau: Lire l'article de presse ci-dessous.

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   Les élus de la Gauche Citoyenne et Ecologiste se mobilisent. Lire l'article de presse
ci-dessous.

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  Les élues de demarche citoyenne s'inquiétudent de l'évolution negative de notre ville et le font savoir au cours d une conférence. De presse. Lire ci contre.

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Lu sur Facebook et repris par le journal "Le Progrès"

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 Il faut stopper cette spirale de la délinquance:

   Les mandatures de Jean- Claude Charvin, à la tête de la ville de Rive de Gier, ont vu la fermeture de la gendarmerie du Grand-Pont, la suppression du poste de commissaire de Police de Rive de Gier et une diminution des moyens de la Police nationale sans que le Maire n'ait fait la moindre protestation face à ce recul des missions régaliennes de l'Etat sur notre commune. Au contraire, il a presque montré qu'il pouvait se passer de l'Etat avec une mini police municipale ( 1 véhicule pour 5 agents) et avec une vidéosurveillance qui ne fonctionne pas. Conséquence ? Les incivilités explosent et l'insécurité s'installe dans le paysage ripagérien. C'est un sujet très important pour notre groupe, pour ne pas dire prioritaire car la qualité de vie de nos concitoyens en dépend.

Lire le communiqué de presse:

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Motion déposée au CM du 27/05/2010 de la FCPE du collège Louise Michel:

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   Notre qualité d'élus d'opposition, sensibles aux attentes de la population et de la durée de l'argent immobilisé pour les travaux, nous a fait souvent intervenir au conseil municipal sur la durée exagérée de certains chantiers. Avec le sentiment partagé, que la majorité municipale soucieuse de son image parmi les ripagériens lance beaucoup d'interventions mais a visiblement un certain mal à les terminer. On pense à la rue Noire, à l'Ilôt Proudhon , au quartier du Grand - Pont et voilà que la presse locale épingle la ville sur la rue de l'église. Les élus du groupe Gauche Citoyenne et Ecologiste n'ont pas fait des prosélytes à la rédaction du quotidien le Progrès laquelle a elle aussi ses réseaux sur les quartiers où le ton monte! Lire le communiqué de presse:

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  Il s'accroche le Maire ! " Vit-on mieux à Rive de Gier depuis l'arrivée en 1995 de Jean-Claude Charvin à la tête de la Mairie ? Les emplois promis sont-ils bien là? Les entreprises ont-elles bien été gardées sur le territoire communal et a-t-on empêché les fermetures de Duralex et d'OMCO? La délinquance et les incivilités ont-elles, comme promis, diminué ? Les services publics sont-ils restés intacts ? La dette de la Ville ( qui est passée de 15 à 26 millions d'€ ) permet-elle de se projeter dans l'avenir ? Et ils veulent rester en 2014 !!! ( voir communiqué de presse ci-joint ). Notre devoir de citoyens est, d'ores et déjà, de mettre en échec Jean-Claude Charvin et son équipe qui sont disqualifiés pour porter à la mairie une nouvelle équipe. De gauche bien entendu et capable de relever tous les défis posés à notre ville et d'améliorer le quotidien de ses habitant(e)s.

Lire le communiqué de presse:

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Les élu(e)s du groupe Gauche Citoyenne et Ecologiste, étonnés -que 7 jours après le séisme et les drames humains survenus en Haïti- la majorité municipale n'ait lancé aucun appel ni message de solidarité ont pris l'initiave , écrit au Maire pour demander la tenue d'un conseil extraordinaire afin d'organiser une aide d'urgence.

Lire le communiqué de presse:

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Communiqué du Groupe Gauche Citoyenne et Ecologiste, paru le 03/11/09 dans la presse locale.

Notre vallée ne doit pas être sacrifiée !

  Le groupe des élu(e)s de la Gauche Citoyenne et écologiste, du conseil municipal de Rive de Gier, soutient activement l’initiative du mardi 03 novembre et appelle la population à y participer massivement car la vallée du Gier est en état d’urgence économique !

  On l’a vu dernièrement à Rive de Gier avec les fermetures des entreprises Duralex et OMCO et la perte de 350 emplois qui n’ont jamais été compensés et qui ont appauvri la Ville dans toutes ses dimensions (commerce et artisanat local en difficulté, moins de recettes pour la commune via la vente d’eau…)

  Aujourd’hui des groupes qui ont fait des profits faramineux appliquent le chômage partiel qui pénalise le pouvoir d’achat des salariés et garantit le revenu des actionnaires !

  La décision de fermetures des sites locaux par les groupes capitalistes Thyssen Krupp (Mavilor), Siemens (VAI Clecim), Farina (Set forges) est inacceptable !

  Cette décision est purement spéculative, elle vise soit à la délocalisation, soit à la concentration. Elle est complètement orientée en faveur des actionnaires et nie la responsabilité des ces groupes vis à vis des territoires, de leurs populations et des collectivités.

  Elle méprise totalement les salarié(e)s qui leur ont permis de faire d’ultra bénéfices ces dernières années !

  C’est la raison pour laquelle le groupe des élu(e)s de la Gauche Citoyenne et Ecologiste soutient également la proposition d’exiger du Préfet « un moratoire de ces décisions. Le Gouvernement doit prendre en considération l’urgence dans laquelle la population est acculée et décider de la suspension des procédures en cours. »

Le Président du groupe : Jean Point.

  Suite à une polémique initiée par le Maire de Rive de Gier sur la presse locale à l’encontre de Jean Point au sujet des dernières inondations, Démarche Citoyenne et son président ont remis les pendules à l’heure et pointé les responsabilités de l’actuelle majorité municipale.

Communiqué de presse:

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Précisions concernant l'article du 08 juillet 09 publié par le Progrès et consacré à l'assemblée générale de Démarche Citoyenne:

  Je tiens à apporter des précisions pour ne pas dire des rectifications à la transcription de mon interview, consacrée au traitement de l’assemblée générale de l’association Démarche Citoyenne, parue dans la page ripagérienne du journal le Progrès en date du 08 juillet 09. Tout d‘abord, je n’ai jamais dit que je soutiendrai nominativement Christiane Farigoule pour les prochaines élections régionales.

  A la question du journaliste me demandant si je soutenais Christiane Farigoule dans son mandat de conseillère régionale, j’ai répondu ainsi : « Le mandat et le travail de C Farigoule s’inscrivent dans une politique associant plusieurs groupes politiques de Gauche et les retombées pour notre ville sont appréciables. Ainsi pour les inondations la Région nous a versé 600.000 € au titre de la solidarité et les subventions que nous percevons pour de nombreux dossiers (exemple Anru du Grand-Pont) traduisent une réelle mobilisation qui me réjouit et que je salue. Je rajoute que je me retrouve dans la déclaration du CN du PCF qui fixe 3 objectifs : empêcher la droite de reprendre du terrain aux régionales, muscler les projets régionaux face à la crise en ancrant profondément à gauche les Conseils régionaux en développant notamment l'influence des conseillers régionaux communistes ».

  Concernant les prochaines élections cantonales, le journaliste m’interpelle ainsi « Vous avez déjà été candidat en 2004 et vous avez fait un bon score. Je suppose que vous serez de nouveau partant ? » J’ai répondu ainsi : « Vous pouvez écrire que je serai disponible pour mener cette élection mais la question de la candidature est avant tout soumise à un processus démocratique et à un vote des adhérent(e)s des différentes composantes qui se retrouveront sur cette élection. Processus que je tiens à respecter. »
Jean Point Président de l ‘association Démarche Citoyenne et président du groupe de la gauche citoyenne et écologiste au conseil municipal de Rive de Gier.

Irrégularité ou dysfonctionnement administratif : à vous de juger ! Conseil municipal du 25 juin 2009. (Le progrès du 26 juin 2009):  logo pdf

Conférence de presse du 15 avril 2009: (le Progrès du samedi 18 avril 2009): 

Article paru sur "le Progrès" le 18 mars 2009 concernant la dette municipale:

Jean Claude Charvin est le relais local de Nicolas Sarkozy:
 (le Progrès du 24 avril 2007): logo pdf

La vidéosurveillance: le dernier rapport d’une commission sénatoriale en date du 17 décembre 08:

1. La vidéosurveillance dans les espaces publics est-elle efficace pour lutter contre la délinquance ?

  Comme le reconnaît l'INHES, la réponse à cette question n'est pas évidente, même si le ministère de l'intérieur semble avoir plus de certitudes. Encore aujourd'hui, des évaluations solides manquent en France ce qui ne laisse pas d'étonner. Les principales études citées ont été réalisées au Royaume-Uni ou au Québec. L'INHES pointe les difficultés pour trouver des critères et des indicateurs pertinents qui permettraient d'isoler le facteur « vidéosurveillance » parmi tous ceux qui peuvent expliquer des variations de la délinquance. Si un jugement définitif sur l'efficacité de la vidéosurveillance ne peut être prononcé à ce stade, il est néanmoins possible de tracer quelques pistes.

  Vos co-rapporteurs estiment que beaucoup de malentendus sur l'efficacité de la vidéosurveillance s'expliquent par le fait que cette technique a été perçue abusivement comme un instrument efficace de prévention situationnelle49(*).

  Or, les études disponibles semblent indiquer que la vidéosurveillance n'a qu'un faible impact sur la délinquance dans les espaces complexes et étendus. Les vols à la tire ou une agression dans une foule sont difficiles à détecter rapidement par un opérateur et, même dans cette éventualité, il lui sera difficile de suivre à la trace la fuite du délinquant. En revanche, de l'avis de tous les personnes entendues, la vidéosurveillance est efficace dans les espaces clos et offrant peu d'issues comme les parkings ou les centres commerciaux. Surtout, la vidéosurveillance n'a qu'un faible impact sur les infractions non préméditées. Elle ne permet de dissuader que les infractions préméditées, l'auteur s'étant au préalable assuré de la présence de caméras. Et même dans le cas de certaines infractions prémédités, l'impact n'est pas toujours avéré. Les attaques de bijouteries, toutes placées sous vidéosurveillance, en sont une illustration. D'autres critiques portent sur les effets de report de la délinquance vers les zones non placées sous vidéosurveillance. S'ils existent certainement en particulier pour le trafic de stupéfiants et la prostitution, vos rapporteurs ne disposent pas de données sérieuses permettant de les mesurer.

L'effet préventif direct de la vidéosurveillance doit donc être très nuancé.

  En outre, cet effet s'estompe rapidement dans le temps si la commission d'infractions sous l'oeil des caméras n'est jamais suivie d'interpellations. La prévention et la répression ne peuvent être dissociées. La sanction est une composante essentielle de la prévention grâce à ses vertus à la fois dissuasives et pédagogiques. La lutte contre la délinquance ne peut fonctionner que si elle « marche avec ses deux jambes ».

Or, c'est précisément là que le bât a longtemps blessé.

Les opérateurs de vidéosurveillance sont essentiellement les collectivités territoriales et les commerces, lesquels s'attachent avant tout à prévenir la délinquance, la répression incombant exclusivement aux forces de police et de gendarmerie et à l'autorité judiciaire. Or, le principal enseignement des travaux de vos co-rapporteurs est que la vidéosurveillance est particulièrement efficace pour la répression. C'est un outil remarquable dans la phase d'enquête et d'investigation. Les services de police et de gendarmerie n'ont pris conscience de l'utilité de la vidéosurveillance que récemment. L'implication forte de l'Etat en faveur de cet outil ne date que de 2006-2007. Il en a résulté que les systèmes de vidéosurveillance se sont développés en dehors de toute préoccupation de répression, la police et la gendarmerie ne bénéficiant pas du report d'images et la performance et l'implantation des caméras ne permettant pas une exploitation judiciaire des images.

L'efficacité de la vidéosurveillance en a nécessairement pâti.

  L'exemple anglais témoigne de cette prise de conscience, les efforts portant désormais sur l'amélioration de la qualité des images, de la formation des agents, de l'exploitation des images et des partenariats entre tous les acteurs de la sécurité. L'expérience globale de la Communauté d'agglomération de la vallée de Montmorency apporte également de bons indicateurs de l'efficacité de la vidéosurveillance pour faire baisser la délinquance de voie publique.

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Contacts:
Courriel: Démarche Citoyenne
Tel: 06.50.14.11.74
Adresse: Démarche Citoyenne
La Ruche des Citoyens
7 cours du 11 Novembre
42800 Rive-de-Gier