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"Information à la Presse du groupe gauche citoyenne et écologiste au conseil municipal de Rive de Gier. (avril 2009) Thème : Tranquillité publique et sécurité, HMF Vernes"

« Délinquance: la situation s’aggrave!

  La sécurité est l’une des fonctions régaliennes de l’Etat et c’est un Droit élémentaire de nos concitoyens. Il n'y a pas de vie sociable possible, pas d'épanouissement de l'individu quand se développe une crainte permanente d'agression contre les personnes et les biens. Quand s’amplifient des comportements, certes minoritaires mais bien réels, de non respect de l’autre. Quand le bien vivre ensemble est relégué à une notion ancienne avec le règne de l’ultra- individualisme !

   Notre ville de par sa taille et sa situation géographique n’a jamais échappé aux phénomènes de délinquance et d’incivilités

  Mais depuis quelques temps, la situation dérape, s’aggrave avec des faits délictueux qui ponctuent quasiment l’actualité quotidienne. Abris-bus saccagés, cars scolaires caillassés, conduites automobiles irresponsables, voitures brûlées, détériorées en plein centre-ville, cambriolages au Grand-Pont, vols à la tire, trafics effectués en plein jour et sans souci de se cacher. La petite délinquance a déjà provoqué la fermeture de certains magasins (rue Richarme, rue W .Rousseau ou rue de la Paix). La liste est longue mais le sentiment d’impunité se développe et plus grave encore se transmet à une génération plus jeune qui fera encore plus parler d’elle dans 3 ou 4 ans ! Il est donc urgent d’intervenir car le sentiment d’insécurité se propage à tous les quartiers. Ceci est d’autant plus inquiétant, qu’une poignée d’individus, semblent à l’origine de ces troubles qui font le bonheur de la grande délinquance et autres trafics qui ont du mal à prospérer quand règnent l’ordre et le respect d’autrui.

   La délinquance trouve un terreau fertile avec la crise économique et sociale, avec le retrait des services publics et les baisses d’effectifs dans les services de Police Nationale. Certes, le Maire et la majorité municipale ont mis en avant la vidéosurveillance (qui semble ne pas marcher !) et une Police municipale, dont la première embauche a été effectuée en avril 2004 et qui peine à fonctionner avec son effectif au complet.

   Nous parlions de retrait des services publics :
- C’est sous la mandature de Jean-Claude Charvin que la gendarmerie installée au Grand
–Pont a déménagé sur une autre commune, moins dense en terme de population, sans que cela ne soulève indignation, ni demande de compensation de la part du maire.
-Idem pour le poste de commissaire de Police dont le Maire est informé par lettre du 01/06/2004 de sa suppression. On apprend que le Ministère de l’Intérieur n’a pas prévu de le remplacer mais plutôt de joindre l’autorité du chef de la Circonscription de Saint-Chamond pour diriger le commissariat de Rive de Gier.

Conclusion :
Rive de Gier a dilué ses moyens et surtout les fonctionnaires du corps urbain ont un territoire plus vaste à couvrir puisqu’ils interviennent aussi à Saint-Chamond. A-t-on entendu la majorité municipale se plaindre de cette situation ? Les a-t-on entendus exiger des des mesures compensatoires pour faire face à la recrudescence des incivilités et actes délictueux ?

   Quand à la vidéosurveillance nous avons prouvé plusieurs fois (bagarres en centre-ville, vols dans les magasins, vols d’engins de travaux publics..) qu’elle n’était pas efficace en matière de dissuasion et surtout d’instruction. On attend toujours le bilan chiffré des faits délictueux élucidés grâce aux caméras. On doit rappeler les récents propos d’un dirigeant HMF soulignant l’inefficacité des caméras dans un immeuble en test et leur démontage « car elles ne servent à rien, les individus voulant mal faire agissent le visage dissimulé. »

   On doit aussi savoir pourquoi la Police Municipale n’arrive jamais à stabiliser un effectif au complet. S’agit-il des conditions de travail offertes par la Mairie qui précipitent les fonctionnaires à la mutation ? Ou de difficultés inhérentes à notre ville

Conclusion : Ces retraits imposés et subis, sans réaction aucune par la majorité municipale UMP, se traduisent par ce que l’on vit au quotidien et qui fait le bonheur de la délinquance. C’est à dire le non respect de l’autre : parkings anarchiques, arrêt-causette en pleine chaussée générant des bouchons, vitesses excessives, stationnements chroniques là où c’est interdit. Tout cela se fait, se généralise, passe dans les habitudes car à Rive de Gier, faute de moyens humains, la menace de la sanction devient de plus en plus hypothétique ! Il faut réapprendre à vivre ensemble, à se respecter et pour cela il faut des gens sur le terrain (des éducateurs pour le préventif et des fonctionnaires de Police pour le répressif). car tout cela permet à une poignée d’individus de tenir la rue, de se livrer à des trafics qui prospèrent alors que des témoignages soulignent que les substances vendues pourraient être de plus en plus nocives et dangereuses. Et touchant en plus des adolescents qui n’habitent pas forcément notre ville. Ce problème doit être réglé d’urgence et de façon intercommunale.

   Plus que jamais, une action transversale, associant tous les acteurs chargés de la sécurité et de la prévention, doit être lancée sur Rive de Gier afin d’endiguer l’actuelle dérive ! Sans oublier d’associer les habitants à la mise en œuvre de solutions décidées collectivement. Nous pensons qu’il est nécessaire d'encourager le dépôt de plaintes afin de briser la loi du silence, faire remonter les exactions à la surface et de lancer les enquêtes. Ne rien dire, subir n’est pas conforme à une pratique citoyenne du bien-vivre ensemble dans le respect de l’autre, avec la conscience de ses droits et devoirs. Car tout le monde ne porte pas plainte (peur des représailles ?) mais à quoi ça sert sinon à laisser les choses dériver en toute impunité.

  La récente réunion du Grand-Pont a mis en lumière le besoin qu'ont les gens de communiquer sur ces délits et d’être renseignés sur les mesures qui peuvent être mises en place par les autorités compétentes.

   Aujourd’hui, l’opposition affirme : « Des solutions existent et prouvent leur efficacité.

   On ne peut lutter contre cette délinquance sans associer la prévention à la répression. Les expériences menées dans certaines villes, montrent que le travail des éducateurs sur le terrain et le soir, voire de médiateurs 7 jours sur 7 a contribué à une baisse significative de la délinquance et a favorisé aussi un retour de la confiance des habitants. L’insécurité n’est pas une fatalité mais un lien étroit, entre la police nationale, les éducateurs, l’éducation nationale, les associations et les responsables sociaux et politiques, permettrait à notre ville de retrouver enfin une meilleure qualité de vie. N’oublions pas également le désengagement de l’Etat sur un sujet aussi important, qui pour les citoyens est inacceptable ! Nous devons exiger de l’Etat et du gouvernement des moyens supplémentaires pour Rive de Gier et son canton, la tranquillité et la sécurité de ses habitants. Tout comme il est inadmissible de laisser perdurer et même dériver les problèmes d’incivilités, de non respect et de violences dans le centre-ville : nous exigeons la mise en place de réponses appropriées sous les plus brefs délais »

HMF Les Vernes : Les élu(e)s du Groupe Gauche Citoyenne et écologiste ont été choqués par les propos, lors d’une conférence de presse, au pied des deux barres HML des Vernes, des dirigeants de HMF. Ces dirigeants qui annoncent sans sourciller la démolition des 2 bâtiments (une centaine de familles) et leur relogement à leur convenance ou selon leurs moyens sur le parc de la Ville ou sur d’autres communes. Ceci est d’autant plus difficile à entendre quand on sait qu’il y a 150 demandes de logements HML en attente sur Rive de Gier (source conseil municipal). Certes ces deux bâtiments ne sont pas dignes du moindre concept de confort de ce 21ème siècle. Mais n’appartenait-il pas à HMF de provisionner les sommes correspondantes aux mises aux normes, aux travaux d’insonorisation et de les lancer par tranches ? Plutôt que de laisser se détériorer la situation et de mettre les gens dehors ! Car c’est bien de ça qu’il s’agit : les locataires de ces immeubles sont des fidèles du quartier, ils y sont attachés et ont, pour la grande majorité d’entre eux, des revenus modestes. Aussi les loyers sont en proportion : 200euros pour un F3, ailleurs on parle de 500€ ! Et des propositions ont déjà été faites hors de notre ville ! Leur fidélité au bailleur est mal récompensée car que va-t-il devenir d’eux, où vont-ils être relogés ? Avec quelles indemnités pour les transferts et les travaux ? Et surtout avec quels nouveaux loyers ? Nous pensons que HMF n’aurait jamais pu faire une annonce pareille sans l’accord de la municipalité de Rive de Gier (donc de son Maire) qui garantit des dizaines de millions d’€ pour les emprunts qu’elle contracte en matière de construction de logements et même d’aménagements d’abords. Nous exigeons que les réponses aux questions posées soient expressément clarifiées par la société HMF et par la ville de Rive de Gier, qui en étant le garant financier de ce bailleur, à moyen à faire pression de façon à faire valoir les droits des locataires.
Vous pouvez lire le compte rendu du "Progrès" ici:

"Information à la Presse de Jean Point, président du groupe gauche citoyenne et écologiste au conseil municipal de Rive de Gier. ( juin 08 ) Thème : Tranquillité publique et sécurité"

  « Rive de Gier est de nouveau en proie depuis plusieurs mois à une recrudescence inquiétante d’incivilités et de violences dans son centre ville. Alors que la sécurité est l’une des fonctions régaliennes de l’Etat et de notre République et que c’est un Droit élémentaire de nos concitoyens.

   Je rappelle qu’en 2006 des faits graves étaient intervenus à la Boirie (voir ci-après) ce qui avait généré l’intervention de notre groupe et ses élu(e)s auprès du maire. La réalité est là, accablante : le problème n’a pas été résolu, il a été déplacé sur d’autres quartiers.

   Les faits 2006 et 2007 :
- En mars 06, une bagarre survient en plein centre-ville (rue jules Guesde) et met en lice 2 bandes rivales qui se rossent à coups de pelle. Au nez et à la barbe de la vidéo- surveillance
- En avril 06, la responsable de la Police municipale fait remonter l’information (compte rendu du bureau municipal du 3 mai 06) d’une bataille à coups de couteau en centre-ville, cette fois-ci la vidéosurveillance en témoigne.
- Jeudi 29 juin 06, une énième altercation entre bandes (pour quel motif ? certainement un trafic quelconque) et une arme à feu est même utilisée dans le centre-ville. Au nez et à la barbe de la vidéo- surveillance. Sans parler des nombreuses incivilités de la Boirie pour lesquelles les commerçants du quartier avaient réagi officiellement et pour lesquelles le Maire s’était engagé à donner des suites (convocation des familles …)

   Fin mars O7, un vigile est recruté pour surveiller les engins de travaux publics de l’entreprise Cholton qui faisait des tranchées dans la rue Claude Drivon. Car un vol d’engin a eu lieu à la barbe des employés et la vidéosurveillance n’a pas permis une fois de plus d’identifier les auteurs !

   Dernièrement, des cambriolages ont eu lieu dans certains équipements municipaux (vol de la recette hebdomadaire au ciné Chaplin), mais aussi dans des commerces des rues Victor Hugo, Waldeck Rousseau, des violences sur personnes dans les rues Roquille, Richarme et sur la Place Général -Valluy sans que la vidéosurveillance ne soit d’aucune utilité.

   La caméra installée rue Richarme a –t-elle fonctionné et permis de transférer des éléments à la Police Nationale afin de confondre les auteurs de ces inacceptables exactions ! Nous n’en sommes pas convaincus et allons nous renseigner auprès de l’administration municipale sur ce point.

   Cette situation n’est pas tolérable car nous la voyons empirer et ni les administrés, ni l’opposition n’ont connaissance de moyens spécifiques pour revenir à une situation normale, à laquelle nos concitoyens ont DROIT.

   Le maire, M. Charvin, a voulu faire croire que la vidéosurveillance et la police municipale allaient régler les problèmes quotidiens qui gâchent la vie de nos concitoyens. Sa politique est non seulement coûteuse (1 seule caméra coûte 40.000 € sans compter son fonctionnement) pour les habitants mais surtout totalement inefficace. Que penser quand on sait que la majorité municipale a l’intention d’installer encore 20 nouvelles caméras !

   Nous sommes déjà intervenus en conseil municipal sur les dysfonctionnements du système de vidéosurveillance : -Plusieurs personnes nous ont souligné avoir demandé des enregistrements en Mairie, suite à des faits qu’elles voulaient prouver, et il leur aurait été répondu que les bandes avaient effacées ou qu’il n’y avait pas de bande dans le système d’enregistrement.

   Je tiens également à remarquer que la création d’une police municipale a de facto réduit les interventions de la police nationale sur notre commune : chacun peut visuellement le constater.

   Aujourd’hui, l’opposition affirme : « Des solutions existent et prouvent leur efficacité.»

   On ne peut lutter contre cette délinquance sans associer la prévention à la répression. Les expériences menées dans certaines villes, montrent que le travail des éducateurs sur le terrain et le soir, voire de médiateurs 7 jours sur 7 a contribué à une baisse significative de la délinquance et a favorisé aussi un retour de la confiance des habitants. L’insécurité n’est pas une fatalité mais un lien étroit, entre la police nationale, les éducateurs et les responsables sociaux et politiques, permettrait à notre ville de retrouver enfin une meilleure qualité de vie.

   N’oublions pas non plus le retrait imposé par le gouvernement dans ce domaine (pourtant chasse gardée de Nicolas Sarkozy. - Rive de Gier a perdu sa gendarmerie (au profit de la Grand-croix) -Rive de Gier a perdu son commissaire, qui réduction des coûts oblige, est maintenant basé à Saint- Chamond et les effectifs du commissariat de Rive de Gier sont insuffisants ! Ce désengagement de l’Etat sur un sujet aussi important pour les citoyens est inacceptable ! Nous seulement, il n’a pas été dénoncé par le Maire et sa majorité. Non seulement, le Maire et sa majorité n’ont engagé aucune démarche, ni action pour exiger de l’Etat et du gouvernement des moyens supplémentaires pour Rive de Gier et la tranquillité de ses habitants mais ils ont créé la vidéosurveillance et une police municipale ! Nous trouvons inadmissible que ce soient les contribuables locaux qui payent (sans résultat probant !) pour le maintien d’un Droit (la sécurité) dont c’est l’Etat qui a la charge ! Tout comme il est inadmissible de laisser perdurer et même dériver les problèmes d’incivilités et de violences dans le centre-ville : nous exigeons la mise en place de réponses appropriées sous les plus brefs délais »
Pour le groupe : Jean Point.

"Conférence de presse du 04 juillet 06 organisée par les élu(e)s du groupe Démarche Citoyenne et PCF au conseil municipal de Rive de Gier. Thème : Tranquillité publique et sécurité"

« Rive de Gier est en proie depuis plusieurs mois à une recrudescence d’incivilités et de violences dans son centre ville. Alors que la sécurité est l’une des fonctions régaliennes de l’Etat et de notre République et que c’est un Droit élémentaire de nos concitoyens.

   Quelques faits :
- En novembre 05, lors du débat d’orientation budgétaire, nous intervenions officiellement au sujet de la Place de La Libération où les riverains nous avaient fait part que le gymkhana des voitures pétaradantes n’a pas vraiment cessé avec les caméras. De plus on nous avait signalé un véhicule se débarrassant de façon nocturne de 2 batteries jetées rue du Canal au nez et à la barbe de la vidéo. Des informations qui ont d’ailleurs été communiquées aux forces de l’ordre.
- En mars 06, une bagarre survient en plein centre-ville (rue jules Guesde) et met en lice 2 bandes rivales qui se rossent à coups de pelle. Au nez et à la barbe de la vidéo-surveillance
-En avril 06, la responsable de la Police municipale fait remonter l’information (compte rendu du bureau municipal du 3 mai 06) d’une bataille à coups de couteau en centre-ville, cette fois-ci la vidéo-surveillance en témoigne.
- Jeudi 29 juin 06, une énième altercation entre bandes (pour quel motif ? certainement un trafic quelconque) et une arme à feu est même utilisée dans le centre-ville. Au nez et à la barbe de la vidéo- surveillance. Sans parler des nombreuses incivilités de la Boirie pour lesquelles les commerçants du quartier ont réagi officiellement et pour lesquelles le Maire s’était engagé à donner des suites (convocation des familles …) Cette situation n’est pas tolérable car nous la voyons empirer et ni les administrés, ni l’opposition n’ont connaissance de moyens spécifiques pour revenir à une situation normale, à laquelle nos concitoyens ont DROIT.

   Le maire, M. Charvin, a voulu faire croire que la vidéo-surveillance et la police municipale allaient régler les problèmes quotidiens qui gâchent la vie de nos concitoyens. Sa politique est non seulement coûteuse (1 seule caméra coûte 40.000 € sans compter son fonctionnement) pour les habitants mais surtout totalement inefficace.

   Nous sommes déjà intervenus en conseil municipal sur les dysfonctionnements du système de vidéosurveillance : -Plusieurs personnes nous ont souligné avoir demandé des enregistrements en Mairie, suite à des faits qu’elles voulaient prouver, et il leur aurait été répondu que les bandes avaient effacées ou qu’il n’y avait pas de bande dans le système d’enregistrement.
- Au bureau municipal du 21 novembre 05, il est fait état officiellement que la vidéo-surveillance de la gare SNCF ne fonctionne pas et le directeur des services techniques explique qu’il faut faire une consultation et des travaux ce qui donne un délai de mars 06.

A toutes nos remarques sur ces dysfonctionnements et autres gaspillages de l’argent public, M. Charvin rétorque « C’était dans mon programme »

Aujourd’hui, l’opposition répond :
« Des solutions existent et prouvent leur efficacité.» On ne peut lutter contre cette délinquance sans associer la prévention à la répression. Les expériences menées dans certaines villes, montrent que le travail des éducateurs sur le terrain et le soir, voire de médiateurs 7 jours sur 7 a contribué à une baisse significative de la délinquance et a favorisé aussi un retour de la confiance des habitants. L’insécurité n’est pas une fatalité mais un lien étroit, entre la police nationale, les éducateurs et les responsables sociaux et politiques, permettrait à notre ville de retrouver enfin une meilleure qualité de vie. N’oublions pas non plus le retrait imposé par le gouvernement dans ce domaine (pourtant chasse gardée de Nicolas Sarkozy, qui va de nouveau présenter un projet de loi (repoussé en 2004) instituant notamment la création d’un service volontaire dans la police.
- Rive de Gier a perdu sa gendarmerie (au profit de la Grand-croix)
-Rive de Gier a perdu son commissaire, qui réduction des coûts oblige, est maintenant basé à Saint- Chamond et les effectifs du commissariat sont insuffisants !

   Ce désengagement de l’Etat sur un sujet aussi important pour les citoyens est inacceptable ! Nous seulement, il n’a pas été dénoncé par le Maire et sa majorité. Non seulement, le Maire et sa majorité n’ont engagé aucune démarche, ni action pour exiger de l’Etat et du gouvernement des moyens supplémentaires pour Rive de Gier et la tranquillité de ses habitants mais ils ont créé la vidéosurveillance et une police municipale ! Nous trouvons inadmissible que ce soient les contribuables locaux qui payent (sans résultat probant !) pour le maintien d’un Droit (la sécurité) dont c’est l’Etat qui a la charge ! »
Pour le groupe : Jean Point.

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